Bruxelles, le 17 octobre 2024 – Jade & Jules, une agence de rencontres haut de gamme, a publié aujourd’hui les résultats de son enquête annuelle « Singles Dating Survey 2024 ». Cette étude, à laquelle de nombreux célibataires belges ont participé, offre un aperçu fascinant du monde moderne des rencontres. Elle révèle des différences remarquables entre les attentes et les priorités des hommes et des femmes, avec des tendances claires qui rejoignent les études européennes et mondiales.
« Les célibataires réévaluent leurs attentes », déclare Annemieke Dubois, fondatrice de Jade & Jules. « Les célibataires sont devenus plus critiques dans leur quête de l’amour. Cependant, les différences entre ce que recherchent les hommes et les femmes dans une relation restent marquées. Alors que l’humour rend un homme plus attrayant aux yeux des femmes, les hommes continuent de se concentrer davantage sur l’attirance physique. Les femmes se sentent également plus à l’aise en tant que célibataires, ce qui leur permet de prendre plus de temps pour décider si quelqu’un leur convient vraiment. Les hommes, quant à eux, s’attendent souvent à une alchimie immédiate, tandis que les femmes sont plus ouvertes à l’idée qu’elle peut se développer au fil du temps. Malgré ces différences, les deux sexes recherchent encore des valeurs traditionnelles : les hommes apprécient toujours la féminité, tandis que les femmes valorisent la masculinité dans un sens plus large, y compris la sécurité émotionnelle et la stabilité. »
Par ailleurs, on observe une tendance croissante vers la monogamie sérielle, où les relations se succèdent sans qu’il y ait nécessairement une relation à vie, tout en maintenant l’importance de l’exclusivité pour beaucoup de personnes.
Principales conclusions de l’enquête :
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Différence d’âge : L’âge compte, mais la phase de vie prime
L’enquête montre que 42 % des hommes sont ouverts à l’idée de sortir avec une femme ayant plus de 10 ans de moins, tandis que seulement 9,74 % des femmes envisagent de sortir avec un homme ayant plus de 10 ans de plus.
« Les hommes sont souvent attirés par des femmes plus jeunes en raison de leur attrait physique, de leur énergie et de leur légèreté, des qualités qui apportent souvent une dynamique rafraîchissante à une relation », explique Annemieke. « Cependant, notre étude montre que l’attirance physique et la jeunesse ne suffisent pas toujours à créer une relation durable. Beaucoup d’hommes recherchent finalement une partenaire dans la même phase de vie avec qui ils peuvent partager des objectifs communs. Une jeune femme souhaitant encore avoir des enfants, alors que lui ne l’envisage plus, n’est souvent pas le bon match sur le long terme. »
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Qui paie l’addition ? L’égalité progresse, mais les points de vue traditionnels persistent
Pas moins de 62,79 % des hommes estiment que l’homme doit payer l’addition lors du premier rendez-vous, tandis que seulement 45,32 % des femmes s’attendent encore à cela. Il est intéressant de noter que près de 20 % des célibataires préfèrent partager l’addition.
« L’idée de l’égalité financière est de plus en plus acceptée », explique Annemieke. « C’est une tendance que nous observons également dans des pays voisins comme les Pays-Bas et la France, où les femmes se sentent de plus en plus à l’aise avec le partage de l’addition. Les rôles de genre dans les relations évoluent, et cette égalité reflète des changements sociaux plus larges. » Pourtant, chez les générations plus âgées, l’attente que l’homme paie le premier rendez-vous reste encore très forte, reflétant les différences générationnelles dans les attentes autour de l’égalité financière.
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Attirance physique : Toujours cruciale, mais l’humour et la connexion émotionnelle gagnent du terrain
L’enquête Jade & Jules révèle que l’attirance physique est importante, voire extrêmement importante, pour 97,67 % des hommes, tandis que 86,90 % des femmes la considèrent également comme un facteur significatif.
« Les hommes, à travers le monde, continuent de privilégier l’apparence. Ils sont visuellement stimulés, ce que l’on observe aussi dans des études provenant des États-Unis et d’Italie », explique Annemieke. « Pour eux, l’apparence physique joue un rôle prépondérant lors de la première impression, tandis que l’attirance pour les femmes est plus diversifiée. En Belgique, Allemagne ou aux Pays-Bas, les femmes accordent également plus d’importance à des qualités telles que l’humour et l’intelligence émotionnelle. »
L’enquête révèle que 48 % des femmes considèrent l’humour comme l’une des principales qualités recherchées chez un partenaire – même au-dessus de l’attirance physique. Cela montre que les femmes regardent souvent au-delà de l’apparence extérieure. Pour elles, il s’agit davantage de savoir si un homme est émotionnellement intelligent et peut les faire rire.
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Frustration face aux applications de rencontres : La superficialité numérique suscite des frustrations
Près de 50 % des célibataires belges expriment leur frustration à l’égard des applications de rencontres, principalement en raison des interactions superficielles et du manque de rencontres sérieuses.
« Nous voyons cette tendance se répandre à l’échelle mondiale », explique Annemieke. « Les célibataires, partout dans le monde, se lassent de la superficialité des applications de rencontres. Ils cherchent des interactions plus significatives et sont frustrés par le manque de profondeur. Ce que les gens veulent, ici et ailleurs, c’est une connexion authentique – quelque chose que l’on ne trouve pas toujours en swipant simplement sur une photo. »
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L’alchimie reste essentielle
L’alchimie joue un rôle décisif dans la poursuite d’une relation : 60,47 % des hommes et 56,93 % des femmes la considèrent comme la raison principale de continuer à voir quelqu’un.
« L’alchimie est quelque chose qu’on ne peut ni forcer ni simuler », déclare Annemieke. « C’est ce sentiment inexplicable qui fait que l’étincelle se produit. Sans alchimie, une relation reste souvent amicale ou trop rationnelle, et manque de quelque chose. »
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Les femmes deviennent de plus en plus sélectives : Une tendance mondiale vers le ‘slow dating’
L’enquête révèle que 27,50 % des hommes remarquent que les femmes deviennent de plus en plus sélectives dans leur choix de partenaire. Les femmes mettent davantage l’accent sur les valeurs personnelles et une vision commune à long terme des relations. Cette tendance rejoint le concept croissant de ‘slow dating’, où les célibataires prennent consciemment plus de temps pour connaître une personne avant de s’engager.
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Relations ouvertes : Un sujet encore sensible, surtout chez les femmes
Près de 10 % des hommes se disent ouverts à une relation ouverte, contre seulement 4,5 % des femmes.
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Différences politiques : L’amour prime sur la couleur politique
« 75 % des célibataires sont ouverts à une relation avec quelqu’un ayant des opinions politiques différentes des leurs. »
Résumé des principaux facteurs bloquants :
- Mauvaise communication : Pour 56 % des femmes et 49 % des hommes, la mauvaise communication est un facteur de rupture absolu.
- Attirance physique : Cruciale pour 97,67 % des hommes et 86,90 % des femmes.
- Stabilité financière : 30,94 % des femmes voient la stabilité financière comme un facteur indispensable.
- Alchimie : 60,47 % des hommes et 56,93 % des femmes la considèrent comme la raison principale pour poursuivre une relation.
Conclusion
Les résultats de l’enquête Jade & Jules Singles Dating Survey 2024 montrent que les célibataires ont des exigences de plus en plus élevées en matière de relations.
Contact :
Annemieke Dubois
Owner & Personal Matchmaker Jade & Jules
E-mail: annemieke@jade-jules.com
Tél: +32 479 981 456
Sigrid Schelstraete
Managing Director & Personal Matchmaker Jade & Jules Bruxelles et Wallonie
E-mail: sigrid@jade-jules.com
Tél: +32 475 972 901